lolo279 a écrit:tu n es pas tres precis non plus..
Et que suggererais tu comme roue?
Dt et CCu pour quel usage ?
Jguy a écrit:Question confort, pas de mauvaises surprises. Certes, c'est plutôt viril, mais dans ce sens moins le Dogma que le Prince. Sur le test de vibrations (avec un vibromètre portable) on se rend compte que le Dogma n'a rien d'intenable, surtout si on le compare à d'autres machines de la catégorie.
-La tenue de route : alors là, son gros point fort, quand d'autres vélos du même acabit vibrent ou guidonnent au freinage à grande vitesse, la magie du Pinarello permet de passer très vite et en toute sécurité. J'avoue avoir testé des centaines de vélos, et deux marques sortent du lot dans ce domaine : Colnago et Pinarello. Une question de géométrie je suppose.
J'ajoute qu'au niveau "optimisation", le choix des composants est très réfléchi par rapport à ma pratique : priorité au confort de position, et à la rigidité pour une cohérence de comportement. Donc pas question d'un cintre ou d'une potence light, ni même d'une selle en carbone sans revêtement ou au contraire qui s'affaisse au bout de quelques centaines de kilomètres.
C'est-à-dire monté de manière à optimiser toutes ces qualités.
Jguy a écrit: Sur le test de vibrations (avec un vibromètre portable) .
benj' !!!! a écrit:Jguy a écrit: Sur le test de vibrations (avec un vibromètre portable) .
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Et ben dis-donc pn peut dire que tu t'écoutes parler toi, quant aux incohérences c'est à mourrir de rire .
Au fait ?C'est quoi ta pratique ?A te lire c'est le tdf
benj' !!!! a écrit:Jguy a écrit: Sur le test de vibrations (avec un vibromètre portable) .
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Et ben dis-donc pn peut dire que tu t'écoutes parler toi, quant aux incohérences c'est à mourrir de rire .
Au fait ?C'est quoi ta pratique ?A te lire c'est le tdf
Jguy a écrit:Pro non, juste journaliste pour un magazine spécialisé, et ce depuis fin 1992.
A cela, j'ajoute une pratique en Elite pendant 17 ans, et aujourd'hui encore en 2 FFC.
Je ne vais pas faire de pub pour notre magazine, mais environ une trentaine de vélos est passée au test de vibration à ce jour, plus quelques passages "perso" et non publiables de manière à isoler les éléments (gonflages, roues, types de pneus, etc.) pour tenter de comprendre où on peut gagner du confort. Enfin, ceci concerne plutôt mes lecteurs, car pour ce qui est de mon cas, c'est loin d'être ma préoccupation première.
Des vélos du même acabit? Disons que pour ratisser large, on va parler de vélos haut de gamme en carbone destinés à la haute compétition.
On peut le comparer à un Trek Madone 6.9, un Look 695, un Cyfac Absolu, un Koga Full Pro 2 Light, un Gir's G-Max, un Colnago C59. Question poids, dans une fourchette de 300 à 400 g et selon quelques détails d'équipement, tous ces vélos se valent.
Rassure-toi, aucune bague au dessus du JDD, ou peut être une seule de 5 mm, cela dépend encore de mon choix définitif de cintre. C'est l'avantage avec les marques qui proposent de nombreuses tailles, on peut au moins choisir un cadre adapté à sa morphologie, et non l'inverse.
Si j'ai comparé concrètement les géométries? Cette question est une blague j'espère ;o))
Reste que certaines valeurs précises ne sont pas communiquées par toutes les marques, comme le déport de fourche, la chasse au sol, ou l'angle de la douille (pour Colnago par exemple).
Quand je parle de rigidité du matériel, je pense également à la fiabilité. Selon moi, le haut de gamme n'est pas fait pour être remplacé tous les 10 000 km, ou encore moins pour être exposé dans son salon. Maintenant, celui qui me sort qu'un cintre carbone est plus rigide qu'un cintre alu, c'est qu'il ne pédale pas vraiment, du moins pour rouler vite.
Enfin, pour parler de concret, le rapport rigidité/tenue de route/précision/fiabilité/rendement est suffisant, non?
Jguy a écrit:J'ai reçu aujourd'hui mon Dogma 2011 (nouveau coloris), après en avoir déjà eu un en 2010, et après avoir eu un Prince en 2009.
Que dire? Ceux qui me connaissent savent que j'ai le choix, et que ce choix justement est mûrement réfléchi.
Jguy a écrit:Outre l'aspect esthétique, finalement assez secondaire, je retiendrai la géométrie, la rigidité, et la tenue de route.
Jguy a écrit:-Après avoir été bloqué sur une géométrie fixe que je croyais obligatoire compte tenu de mon gabarit (pour faire clair, petite taille mais longs fémurs, donc un recul de selle important), un premier essai d'un Prince m'a convaincu que je pouvais retrouver mes appuis dur un Pinarello.
Jguy a écrit:-La rigidité supposée d'un Pinarello comme le Prince ou le Dogma, est plutôt un avantage pour un cycliste comme moi, alors que je me suis longtemps persuadé du contraire. Au final, plus de sensations, un excellent rendement, et la seule obligation est de savoir changer de braquet au bon moment.
Jguy a écrit:Question confort, pas de mauvaises surprises. Certes, c'est plutôt viril, mais dans ce sens moins le Dogma que le Prince. Sur le test de vibrations (avec un vibromètre portable) on se rend compte que le Dogma n'a rien d'intenable, surtout si on le compare à d'autres machines de la catégorie.
Jguy a écrit:-La tenue de route : alors là, son gros point fort, quand d'autres vélos du même acabit vibrent ou guidonnent au freinage à grande vitesse, la magie du Pinarello permet de passer très vite et en toute sécurité. J'avoue avoir testé des centaines de vélos, et deux marques sortent du lot dans ce domaine : Colnago et Pinarello. Une question de géométrie je suppose.
Jguy a écrit:Donc pas question d'un cintre ou d'une potence light, ni même d'une selle en carbone sans revêtement ou au contraire qui s'affaisse au bout de quelques centaines de kilomètres.
Jguy a écrit:
Le comportement d'un vélo, aussi haut de gamme soit-il, s'entend dans toutes les conditions que l'on peut rencontrer au cours d'une sortie, d'une semaine, d'une saison, et au bout de 150 km, pas seulement en faisant le tour du pâté de maison.
Et pour l'instant, je n'ai rien trouvé de mieux qu'un vélo de pro pour le faire, c'est-à-dire monté de manière à optimiser toutes ces qualités.
Naxoah a écrit:Jguy a écrit:Pro non, juste journaliste pour un magazine spécialisé, et ce depuis fin 1992.
A cela, j'ajoute une pratique en Elite pendant 17 ans, et aujourd'hui encore en 2 FFC.
Je ne vais pas faire de pub pour notre magazine, mais environ une trentaine de vélos est passée au test de vibration à ce jour, plus quelques passages "perso" et non publiables de manière à isoler les éléments (gonflages, roues, types de pneus, etc.) pour tenter de comprendre où on peut gagner du confort. Enfin, ceci concerne plutôt mes lecteurs, car pour ce qui est de mon cas, c'est loin d'être ma préoccupation première.
Des vélos du même acabit? Disons que pour ratisser large, on va parler de vélos haut de gamme en carbone destinés à la haute compétition.
On peut le comparer à un Trek Madone 6.9, un Look 695, un Cyfac Absolu, un Koga Full Pro 2 Light, un Gir's G-Max, un Colnago C59. Question poids, dans une fourchette de 300 à 400 g et selon quelques détails d'équipement, tous ces vélos se valent.
Rassure-toi, aucune bague au dessus du JDD, ou peut être une seule de 5 mm, cela dépend encore de mon choix définitif de cintre. C'est l'avantage avec les marques qui proposent de nombreuses tailles, on peut au moins choisir un cadre adapté à sa morphologie, et non l'inverse.
Si j'ai comparé concrètement les géométries? Cette question est une blague j'espère ;o))
Reste que certaines valeurs précises ne sont pas communiquées par toutes les marques, comme le déport de fourche, la chasse au sol, ou l'angle de la douille (pour Colnago par exemple).
Quand je parle de rigidité du matériel, je pense également à la fiabilité. Selon moi, le haut de gamme n'est pas fait pour être remplacé tous les 10 000 km, ou encore moins pour être exposé dans son salon. Maintenant, celui qui me sort qu'un cintre carbone est plus rigide qu'un cintre alu, c'est qu'il ne pédale pas vraiment, du moins pour rouler vite.
Enfin, pour parler de concret, le rapport rigidité/tenue de route/précision/fiabilité/rendement est suffisant, non?
Tu es journaliste à Cyclo Passion ? il me semble que c'est dans ce magazine qu'il y les mesures des vibrations.
rickyfirst a écrit:Jguy a écrit:J'ai reçu aujourd'hui mon Dogma 2011 (nouveau coloris), après en avoir déjà eu un en 2010, et après avoir eu un Prince en 2009.
Que dire? Ceux qui me connaissent savent que j'ai le choix, et que ce choix justement est mûrement réfléchi.
Je n'en doutes absolument pas au regard de tes nombreux tests.Jguy a écrit:Outre l'aspect esthétique, finalement assez secondaire, je retiendrai la géométrie, la rigidité, et la tenue de route.
Ce sont objectivement les qualités principales de ce cadreJguy a écrit:-Après avoir été bloqué sur une géométrie fixe que je croyais obligatoire compte tenu de mon gabarit (pour faire clair, petite taille mais longs fémurs, donc un recul de selle important), un premier essai d'un Prince m'a convaincu que je pouvais retrouver mes appuis dur un Pinarello.
Comment pratiquement as tu obtenu ce recul ?Jguy a écrit:-La rigidité supposée d'un Pinarello comme le Prince ou le Dogma, est plutôt un avantage pour un cycliste comme moi, alors que je me suis longtemps persuadé du contraire. Au final, plus de sensations, un excellent rendement, et la seule obligation est de savoir changer de braquet au bon moment.
Lorsque l'on a de l'entraînement, de la force et du métier, la rigidité du Dogma n'est effectivement pas un problème. Par contre l'usage du Dogma par une personne à la PMA faible, qui n'a pas beaucoup de métier et donc un coup de pédale haché, c'est problématiqueJguy a écrit:Question confort, pas de mauvaises surprises. Certes, c'est plutôt viril, mais dans ce sens moins le Dogma que le Prince. Sur le test de vibrations (avec un vibromètre portable) on se rend compte que le Dogma n'a rien d'intenable, surtout si on le compare à d'autres machines de la catégorie.
Le confort, c'est le cadre, mais surtout la position, les roues, les pneumatiques.Jguy a écrit:-La tenue de route : alors là, son gros point fort, quand d'autres vélos du même acabit vibrent ou guidonnent au freinage à grande vitesse, la magie du Pinarello permet de passer très vite et en toute sécurité. J'avoue avoir testé des centaines de vélos, et deux marques sortent du lot dans ce domaine : Colnago et Pinarello. Une question de géométrie je suppose.
Comment associes tu la géométrie et la tenue de route. Qu'est ce qui fait la spécificité des Colnago et Pinarello ?Jguy a écrit:Donc pas question d'un cintre ou d'une potence light, ni même d'une selle en carbone sans revêtement ou au contraire qui s'affaisse au bout de quelques centaines de kilomètres.
Un selle et son confort se défini par sa forme plus que par son revêtement. Personnellement, j'alterne Fizik alliante carbon et AX Lightness endurance sans aucun problème. J'ai des sorties de 8 heures sur mon AX Lightness sans aucunes gênes.Jguy a écrit:
Le comportement d'un vélo, aussi haut de gamme soit-il, s'entend dans toutes les conditions que l'on peut rencontrer au cours d'une sortie, d'une semaine, d'une saison, et au bout de 150 km, pas seulement en faisant le tour du pâté de maison.
Et pour l'instant, je n'ai rien trouvé de mieux qu'un vélo de pro pour le faire, c'est-à-dire monté de manière à optimiser toutes ces qualités.
Un vélo de pro est optimise pour une pratique pro. Malheureusement les pro ont des contraintes de sponsoring qui les obligent souvent à faire des compromis. Il y a autant d'optimisation qu'il y a de pratique du vélo. Cela laisse le champ à de nombreuses configurations différentes.
Jguy a écrit:Pour la tenue de route, j'ai fait une réponse plus haut à ce sujet. Je pense aussi qu'il y a une inconnue dont on parle peu : des renforts internes pour mieux "poser" le vélo sur la route, ou alors l'utilisation de fibres différentes à certains points névralgiques. D'ailleurs, je remarque qu'un Colnago comme un Pinarello, ce n'est jamais léger léger ;o) Ce que je sais, c'est que c'est une marque de fabrique propre à certaines marques.
rickyfirst a écrit:Jguy a écrit:Pour la tenue de route, j'ai fait une réponse plus haut à ce sujet. Je pense aussi qu'il y a une inconnue dont on parle peu : des renforts internes pour mieux "poser" le vélo sur la route, ou alors l'utilisation de fibres différentes à certains points névralgiques. D'ailleurs, je remarque qu'un Colnago comme un Pinarello, ce n'est jamais léger léger ;o) Ce que je sais, c'est que c'est une marque de fabrique propre à certaines marques.
Dans le cas de Pinarello et Colnago; le 'surpoids' est également dans la ........... peinture
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