samueldenis a écrit:Le fractionné t'apporte de pouvoir supporter les changements de rythme en course. C'est bien de pouvoir rouler à 40 voir 45km/h de moyenne mais si tu as une attaque à 55km/h et que tu plafonnes à tes 45...tu es sorti des roues! Une course, ça roule tantôt à 35, tantôt à 55... Le fractionné est donc sensé t'apporter de pouvoir supporter ces changements de rythme.
Le VTT est une sortie de fractionné court en soit vu le nombre de changements de rythme. (d'un point de vue cardiaque car la puissance développé n'est pas comparable à celle de la route).
invité a écrit:samueldenis a écrit:Le fractionné t'apporte de pouvoir supporter les changements de rythme en course. C'est bien de pouvoir rouler à 40 voir 45km/h de moyenne mais si tu as une attaque à 55km/h et que tu plafonnes à tes 45...tu es sorti des roues! Une course, ça roule tantôt à 35, tantôt à 55... Le fractionné est donc sensé t'apporter de pouvoir supporter ces changements de rythme.
Le VTT est une sortie de fractionné court en soit vu le nombre de changements de rythme. (d'un point de vue cardiaque car la puissance développé n'est pas comparable à celle de la route).
Donc c'est mieux de le travailler en vtt ?
Et aussi je fait du 1 min /1 min: c'est bien de travailler de la sorte ?
pa76000 a écrit:invité a écrit:samueldenis a écrit:Le fractionné t'apporte de pouvoir supporter les changements de rythme en course. C'est bien de pouvoir rouler à 40 voir 45km/h de moyenne mais si tu as une attaque à 55km/h et que tu plafonnes à tes 45...tu es sorti des roues! Une course, ça roule tantôt à 35, tantôt à 55... Le fractionné est donc sensé t'apporter de pouvoir supporter ces changements de rythme.
Le VTT est une sortie de fractionné court en soit vu le nombre de changements de rythme. (d'un point de vue cardiaque car la puissance développé n'est pas comparable à celle de la route).
Donc c'est mieux de le travailler en vtt ?
Et aussi je fait du 1 min /1 min: c'est bien de travailler de la sorte ?
Je n'ai jamais essayé le 1min-1min en fractionné et je n'aimerais pas le faire. Plus sérieusement le fractionné te permet d'encaisser les changements de rythmes fréquents dans les compétitions. Généralement sur une sortie 1h30 typée fractionné, tu peux faire différents types d'exercies. Du 20-20, du 30-20 si t'as la patate
... 1 min c'est très long à fond !
invité a écrit:Ok.Bon je vais revoir mon entrainement .
Si quelqu'un a une reponse pour fractionné cap VS vtt qu'il le dise.
merci
pa76000 a écrit:invité a écrit:samueldenis a écrit:Le fractionné t'apporte de pouvoir supporter les changements de rythme en course. C'est bien de pouvoir rouler à 40 voir 45km/h de moyenne mais si tu as une attaque à 55km/h et que tu plafonnes à tes 45...tu es sorti des roues! Une course, ça roule tantôt à 35, tantôt à 55... Le fractionné est donc sensé t'apporter de pouvoir supporter ces changements de rythme.
Le VTT est une sortie de fractionné court en soit vu le nombre de changements de rythme. (d'un point de vue cardiaque car la puissance développé n'est pas comparable à celle de la route).
Donc c'est mieux de le travailler en vtt ?
Et aussi je fait du 1 min /1 min: c'est bien de travailler de la sorte ?
Je n'ai jamais essayé le 1min-1min en fractionné et je n'aimerais pas le faire. Plus sérieusement le fractionné te permet d'encaisser les changements de rythmes fréquents dans les compétitions. Généralement sur une sortie 1h30 typée fractionné, tu peux faire différents types d'exercies. Du 20-20, du 30-20 si t'as la patate
... 1 min c'est très long à fond !
bob a écrit:Salut tout le monde
J'ai une petite question. Lors d'un exercice en interval training, genre 3030, on parle souvent de travailler à la PMA. Maintenant, imaginons qu'on parte à fond dès le départ. On est d'accord, on va travailler dans le domaine lactique, au dessus de la PMA. L'effort étant prolongé, on va probablement faiblir pendant les répétitions.
Exemple, sur 10' en 3030, on va commencer à 120% de PMA, puis 115, 100, et peut être finir à 90 (je ne sais pas j'ai jamais testé, cela en fonction des capatcités de récupération)
D'après beaucoup, ce genre de travail développe essentiellement la filière anaérobie lactique, qui n'est pas la plus importante dans notre sport, notamment en longue distance.
Ma question est la suivante. Lors de la phase de récupération, les lactates sont résinsérés dans le cycle de Krebs. Pour cela il faut de l'oxygène (c'est ce que qu'on appelle le remboursement de la dette d'O2). Mais l'effort suivant survient alors que les lactates sont encore présents, donc à la phase de récup suivante, on doit métaboliser plus d'acide lactique. Du coup, le muscle s'acidifie, ca inhibe une enzyme et résultat la contraction musculaire est inhibée. Cependant, au fur et à mesure que la dette d'O2 augmente, la VO2 s'éléve aussi pour compenser, on va donc au cours de l'exercice plafonner à VO2max. Donc finalement un exercice qui pourrait être décrit comme un travail en anaérobie lactique va stimuler la VO2 max ? Donc du coup peut on parler de travail aérobie non pas grace à l'exercice mais plus gràce à la faible récup...
En pratique, j'ai déjà essayé du 3030 à bloc. Et c'est vrai qu'à partir de la 5ème série, on ventile vraiment un maximum, et ce y compris pendant les 30" de récup. Du coup on pourrait peut être conclure qu'un travail en anaérobie lactique (>PMA) si les période de récup sont suffisament faible (mais pas trop quand même pour permettre de poursuivre l'exercice assez longtemps) pourrait aussi développer le potentiel aérobie ?
Je suis pas sur d'avoir été clairmais c'est pas évident à expliqer, faudrait faire un graphique
rickyfirst a écrit:Je pense qu'en se connaissant bien et en étant capable de sentir ses capacités, il ne faut pas 20 sec pour établir son allure. Lorsque je fais du 30/30 sur HT, je pense qu'après 7 à 8 sec, je suis dans 'l'allure' me permettant de travailler mes 3 séries de 30/30 avec une PMA comprise dans une fourchette raisonnable.
D'après le Site de Fred Grappe a écrit:Question : Un article intéressant de Denis Riche est paru dans le mensuel VO2 Magazine de Juin 2007 portant sur une étude réalisée par Hull sur le model 30"-30" à PMA mais aussi au seuil critique qui a été testé sur des cyclistes. L’étude met l'accent sur l'importance d'un temps de travail maximal de 30" (qui correspond à la réserve en oxygène de la myoglobine) qui semble plus bénéfique sur plusieurs points qu'un travail de type 1'-1' malgré le nombres de relances moindres. Pour un effort soutenu au dessus de 30" d'effort la myoglobine serait épuisée en oxygène ce qui engendrerai une accumulation des lactates. Qu'en pensez vous ?
Réponse : Je ne suis pas un expert sur le fonctionnement physiologique de la myoglobine. Mais, si l’étude que vous présentez met en avant le phénomène d’épuisement de la myoglobine au bout de 30 sec alors c’est qu’il se passe certainement quelque chose. Mais, attention à ne pas prendre à la lettre les conclusions d’une étude scientifique. Il faut toujours avoir à l’esprit que les résultats sont fonction d’un protocole expérimental qui a été conduit sur une certaine population de sujets. On ne peut donc pas généraliser au plus grand nombre les résultats d’une étude. Il convient de toujours les pondérer. Le problème dans l’entraînement n’est pas de savoir si c’est mieux de faire du 30"-30" ou du 1’-1’ mais davantage de lier les aspects énergétiques avec les aspects techniques de l’activité. Car, si en cyclisme vous faite par exemple du 30"-30", premièrement, il faut calibrer les périodes d’exercice et de contre exercice (et cela n’est pas toujours très clair dans les études scientifiques). Ensuite, si vous faite 30 sec à une intensité très élevée (proche ou supérieur à la PMA) alors, vous allez automatiquement passer par une phase d’accélération pour atteindre l’intensité cible. Or, cette phase d’accélération pèse dans la structure de l’effort car elle fait appel à des qualités de force. Ainsi, le modèle 30"-30" en cyclisme amène à une succession de phases d’accélération et de décélération qui finalement ne vont pas automatiquement agir sur la qualité réelle qu’on souhaitait développer au départ. En revanche sur 1 min d’exercice la phase d’accélération pèse beaucoup moins et permet au coureur de rouler plus longtemps à une intensité cible. Ces exemples vous montre qu’il ne faut pas systématiquement se référer à un modèle type qui a été décrit car ce modèle peu prendre des dimensions différentes selon le sport pratiqué (il sera différent en athlétisme comparé au cyclisme). Pour finir, sachez une chose, ce qui fait progresser un athlète dans le temps c’est la diversité des exercices d’entraînement. Il faut rompre avec un modèle stéréotypé. Par conséquent, associer du 30"-30" et du 1’-1’ sur des séances d’entraînement différentes peut certainement être l’une des clés de l’amélioration de la performance.
bob a écrit:Pour la remarque de Grappe, j’avoue ne pas comprendre. Tout d’abord, la phase d’accélération, en permettant un important travail musculaire et une augmentation progressive de la cadence de pédalage, doit selon moi permettre une un travail de puissance, dans la partie force. De plus, même si on atteint la vitesse cible que quelques secondes après le début de travail, je ne vois pas en quoi c’est gênant. Selon moi, dans la phase d’accélération, on produit déjà la puissance cible non ? Avec de l’habitude je suis quasi persuadé qu’on est capable de produire la puissance cible en quelques coups de pédale, même si la vitesse ou même le capteur de puissance n’indique pas encore la bonne puissance ?
bob a écrit:Pour la remarque de Grappe, j’avoue ne pas comprendre. Tout d’abord, la phase d’accélération, en permettant un important travail musculaire et une augmentation progressive de la cadence de pédalage, doit selon moi permettre une un travail de puissance, dans la partie force. De plus, même si on atteint la vitesse cible que quelques secondes après le début de travail, je ne vois pas en quoi c’est gênant. Selon moi, dans la phase d’accélération, on produit déjà la puissance cible non ? Avec de l’habitude je suis quasi persuadé qu’on est capable de produire la puissance cible en quelques coups de pédale, même si la vitesse ou même le capteur de puissance n’indique pas encore la bonne puissance ?
Pour mon post précédant, j’ai bien compris la réponse. C’est la théorie « classique », cad pour travailler en PMA, on bosse en IT autour de PMA, ou un peu au dessus.
Moi ce que je me demande c’est si on travaille très largement au dessus, avec la filière lactique, la dette d’O2 croissante permettrait de pousser VO2 à VO2max et donc de travailler la filière aérobie en même temps ?
gester a écrit:La différence majeure entre un 30/30 et un 60/60 me semble être au niveau des filières énergétiques impliqué durant le temps d'effort.
Sur un 30", c'est un partage entre anaérobie analactique et anérobie lactique.
Sur un 60", c'est largement majoritairement du l'anérobie lactique.
Donc en 30/30, on est plus dans un registre force / sprint et plus resistance acide dans le 60/60.
La théorie vouadrait donc un démarrage de la saison en 30/30 et, petit à petit une bascule vers le 60/60 voir des durée encore plus longue ou des récup plus courte.
Sportivement
_______________________
Vive le light... et le ventoux
rickyfirst a écrit:gester a écrit:La différence majeure entre un 30/30 et un 60/60 me semble être au niveau des filières énergétiques impliqué durant le temps d'effort.
Sur un 30", c'est un partage entre anaérobie analactique et anérobie lactique.
Sur un 60", c'est largement majoritairement du l'anérobie lactique.
Donc en 30/30, on est plus dans un registre force / sprint et plus resistance acide dans le 60/60.
La théorie vouadrait donc un démarrage de la saison en 30/30 et, petit à petit une bascule vers le 60/60 voir des durée encore plus longue ou des récup plus courte.
Sportivement
_______________________
Vive le light... et le ventoux
C'est ma perception également. Par contre, je pense qu'un 'rappel' de 30/30 dans la saison est utile. Il y a effectivement une phase de préparation en progression mais une fois cette phase arrivée à terme, l'entraînement peut devenir tous azimuth avec entretien des différentes composantes notament entre les compétitions.
rickyfirst a écrit:Effectivement![]()
D'ou l'interêt de faire du 30/30 et et du 60/60.
gester a écrit:La différence majeure entre un 30/30 et un 60/60 me semble être au niveau des filières énergétiques impliqué durant le temps d'effort.
Sur un 30", c'est un partage entre anaérobie analactique et anérobie lactique.
Sur un 60", c'est largement majoritairement du l'anérobie lactique.
lpikachu58 a écrit:bob a écrit:Pour la remarque de Grappe, j’avoue ne pas comprendre. Tout d’abord, la phase d’accélération, en permettant un important travail musculaire et une augmentation progressive de la cadence de pédalage, doit selon moi permettre une un travail de puissance, dans la partie force. De plus, même si on atteint la vitesse cible que quelques secondes après le début de travail, je ne vois pas en quoi c’est gênant. Selon moi, dans la phase d’accélération, on produit déjà la puissance cible non ? Avec de l’habitude je suis quasi persuadé qu’on est capable de produire la puissance cible en quelques coups de pédale, même si la vitesse ou même le capteur de puissance n’indique pas encore la bonne puissance ?
Pour mon post précédant, j’ai bien compris la réponse. C’est la théorie « classique », cad pour travailler en PMA, on bosse en IT autour de PMA, ou un peu au dessus.
Moi ce que je me demande c’est si on travaille très largement au dessus, avec la filière lactique, la dette d’O2 croissante permettrait de pousser VO2 à VO2max et donc de travailler la filière aérobie en même temps ?
Non tu soliciterais très peu la filière aérobie 15 à 20% du processus énergétique.
lpikachu58 a écrit:
Le but du 30"/30" est de quand même principalement d'augmenter la limite de la filière aérobie.
Si vous travail trop haut en 30/30 (>120%) Vous allez vous retrouver à être capable de sortir de peloton mais dans les 45" qui suivent vous allez très très vite plafonner.
crazymountainbiker a écrit:Selon moi, le but du 30/30 est d'augmenter la PMA, donc la filière aérobie.
PMA et VO2max sont exactement la même chose : capacité maximale aérobie de l'organisme, mais exprimée d'une manière différente. Les coureurs à pied, eux, parleraient de VMA. C'est pareil.
Le but des 30/30 est de créer une dette en oxygene, et donc de stimuler notre organisme pour utiliser au mieux l'oxygene. C'est exacement ce que dit bob.
La phase de récupération est donc tout aussi importante que la phase d'effort. On réduit la phase de récupération chez un organisme très entrainé, pour augmenter sa stimulation.
Pour ce qui est des filières énéergétiques utilisées pendant un exercice 30/30 : les toutes premières secondes du premier 30/30 sont des anaerobies alactiques, mais par la suite, on va vite se retrouver en lactique, puis enfin en aérobie !!!
Ne dites pas que le 30/30 fait travailler le lactique. Je pense que c'est une erreur ! Pour travailler en lactique, il faudrait des phases de récupération bien plus longues.
Le 30/30 dure 10 minutes, pas 30 secondes. Il faut donc raisonner sur 10 minutes d'exercice, pas sur 30 secondes.
Le 30/30 doit donc se faire à sa PMA, et ensuite, on doit réduire les périodes de récupération (30/25, 30/20) lorsque le coeur descend trop pendant la récup (normalement, on doit perdre 7-10 pulses de ce que j'ai entendu).
Et pour travailler l'anaerobie lactique, il faut aller au delà de sa PMA, mais récupérer plus longtemps.
Non ?
lpikachu58 a écrit:
On a fait des tests avec le masque et tout le tralala.
Le meilleur format à 95% pendant 10' c'est 1'30"/30" avec une accélération progressive de 20" ---> On retrouvait bien ce que grappe avançait.
C'est très important dans ce cas de respecter une accélération prgressive de manière à finir la série
bob a écrit:gester a écrit:La différence majeure entre un 30/30 et un 60/60 me semble être au niveau des filières énergétiques impliqué durant le temps d'effort.
Sur un 30", c'est un partage entre anaérobie analactique et anérobie lactique.
Sur un 60", c'est largement majoritairement du l'anérobie lactique.
Je ne suis pas d'accord. A partir du moment ou tu te fixes une intensité, les filières utilisées seront les mêmes. Pour moi que ce soit en 3030 ou 6060 à la PMA, tu utilises dans les deux cas mjaoritairement la filière aérobie (qui arrive à saturation, cad à VO2max) plus un peu d'anaérobie lactique (je ne sais plus ou j'ai lu ca mais je crois que la part de lactiqe dans un effort de PMA est de 15-20%). Par contre c'est clair que c'est exercice sont sensiblement différents, les durées d'exercice étant plus longue en 6060, en doit plus travailler le temps de soutien. Après je ne suis pas sur que le résultat soit tellement différents. Tout dépend de la durée de l'exercice que l'on peut soutenir avec tel ou tel méthode. Pour cela le 3030 me semble être pas mal, puisque on est capable de travailler longtemps à PMA. Pour le 6060 j'ai jamais essayé, je ne sais combien de séries et de répéts faîtes vous ?lpikachu58 a écrit:bob a écrit:Pour la remarque de Grappe, j’avoue ne pas comprendre. Tout d’abord, la phase d’accélération, en permettant un important travail musculaire et une augmentation progressive de la cadence de pédalage, doit selon moi permettre une un travail de puissance, dans la partie force. De plus, même si on atteint la vitesse cible que quelques secondes après le début de travail, je ne vois pas en quoi c’est gênant. Selon moi, dans la phase d’accélération, on produit déjà la puissance cible non ? Avec de l’habitude je suis quasi persuadé qu’on est capable de produire la puissance cible en quelques coups de pédale, même si la vitesse ou même le capteur de puissance n’indique pas encore la bonne puissance ?
Pour mon post précédant, j’ai bien compris la réponse. C’est la théorie « classique », cad pour travailler en PMA, on bosse en IT autour de PMA, ou un peu au dessus.
Moi ce que je me demande c’est si on travaille très largement au dessus, avec la filière lactique, la dette d’O2 croissante permettrait de pousser VO2 à VO2max et donc de travailler la filière aérobie en même temps ?
Non tu soliciterais très peu la filière aérobie 15 à 20% du processus énergétique.
Je n'en suis pas si sur, c'est évident que lors des 30" d'effort tu es en lactique (quoique sur la fin des 10' tu dois peut être diminuer l'intensité car trop dur, cf modèle de la pyrammide descendante de grappe), mais quand même, la répétition rapide d'efforts lactiques doit faire énormément travailler le système aérobie pour regnérer les lactates ? Sinon, comment expliques tu l'essouflement terrible lors du 3030 à bloc ?lpikachu58 a écrit:
Le but du 30"/30" est de quand même principalement d'augmenter la limite de la filière aérobie.
Si vous travail trop haut en 30/30 (>120%) Vous allez vous retrouver à être capable de sortir de peloton mais dans les 45" qui suivent vous allez très très vite plafonner.
Je ne comprends pas trop pourquoi ?
crazymountainbiker a écrit:Selon moi, le but du 30/30 est d'augmenter la PMA, donc la filière aérobie.
PMA et VO2max sont exactement la même chose : capacité maximale aérobie de l'organisme, mais exprimée d'une manière différente. Les coureurs à pied, eux, parleraient de VMA. C'est pareil.
Le but des 30/30 est de créer une dette en oxygene, et donc de stimuler notre organisme pour utiliser au mieux l'oxygene. C'est exacement ce que dit bob.
La phase de récupération est donc tout aussi importante que la phase d'effort. On réduit la phase de récupération chez un organisme très entrainé, pour augmenter sa stimulation.
Pour ce qui est des filières énéergétiques utilisées pendant un exercice 30/30 : les toutes premières secondes du premier 30/30 sont des anaerobies alactiques, mais par la suite, on va vite se retrouver en lactique, puis enfin en aérobie !!!
Ne dites pas que le 30/30 fait travailler le lactique. Je pense que c'est une erreur ! Pour travailler en lactique, il faudrait des phases de récupération bien plus longues.
Le 30/30 dure 10 minutes, pas 30 secondes. Il faut donc raisonner sur 10 minutes d'exercice, pas sur 30 secondes.
Le 30/30 doit donc se faire à sa PMA, et ensuite, on doit réduire les périodes de récupération (30/25, 30/20) lorsque le coeur descend trop pendant la récup (normalement, on doit perdre 7-10 pulses de ce que j'ai entendu).
Et pour travailler l'anaerobie lactique, il faut aller au delà de sa PMA, mais récupérer plus longtemps.
Non ?
Dans mes bras docteur fou![]()
Par contre je suis toujours pas convaincu qu'il faille absolument faire cet exos à PMA. Pourquoi pas à bloc tout le temps ? Faut que je regarde avec un capteur de puissance. Si en partant à bloc ou presque et en finissant comme on peut on travaille sur une puissance moyenne pendant l'effort de par exemple 420W. Et si on refait l'exos à PMA qui est par exemple à 370W. Si je finis l'exos avec les 420W j'aurais finalement travailler plus avec le 3030 à bloc tout en stimulant ma VO2max. Par contre si ma puissance s'effondre dans l'exos et je ne réalise qu'une puissance moyenne de 350, alors il vaut mieux partir dès le départ à PMAlpikachu58 a écrit:
On a fait des tests avec le masque et tout le tralala.
Le meilleur format à 95% pendant 10' c'est 1'30"/30" avec une accélération progressive de 20" ---> On retrouvait bien ce que grappe avançait.
C'est très important dans ce cas de respecter une accélération prgressive de manière à finir la série
Tu parles de 1'30 à PMA et 30" à quelle intensité ?
Combien de répéts par série
Combien de série ?
Quelle durée entre les séries ?
Ca m'intéresse, ca fait toujours des exos en plus... par contre ca me parait court 30", on doit encore bien souffrir dans ce genre d'exos (hein rickyfirst![]()
)
PS Désolé, j'ai été un peu long à citer tout le monde, j'espère que ca reste lisible
Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 2 invités