albator83 a écrit:Sympathique... donc en gros tu te pointes avec le matos "de secours" au cas où, en fonction des épreuves ^^
albator83 a écrit:Sympathique... donc en gros tu te pointes avec le matos "de secours" au cas où, en fonction des épreuves ^^
Fireblade07 a écrit:Et ne pas oublier que certains organisateurs n'ont pas une connaissance parfaite du règlement...
hyperion66 a écrit:D'ailleurs, si on va plus loin, seules les roues homologuées UCI devraient pouvoir être utilisées sur les compétitions FFC non ?
albator83 a écrit:Cela dit je n'ai jamais vu un vélo de triathlon (avec prolongateurs) ou des freins à disques se faire refuser le départ d'une cyclo... ou se faire déclasser.
LewOlive a écrit:
Photo prise sur l'étape 3 de Paris Nice (Source: Quickstep)
Chez Quickstep c'est encore le flou entre patins et disques ! Sur une étape vallonnée il y avait davantage de patins que de disques.
Plus globalement la tendance qui se dégage, c'est d'inciter les équipiers à rouler en disques si possible, et de laisser le libre choix aux leaders.
Sur ce genre de bosses qu'ils montent à PMA ou en tous cas au dessus de la FTP, manifestement le patins semblent l'emporter nettement dans le peloton, alors que les étapes de plaine classiques sans trop de mouvement sont l'opportunité de montrer les disques.
Fireblade07 a écrit:Peut être tout simplement parce que sur les étapes de "plaines" ils utilisent les Venge (=disques)?
david38 a écrit:Tu crois vraiment qu' ils se posent ce genre de question? Je pense que les leaders prennent le minimum de risques par rapport au dépannage alors que l’équipier modèle qui est sensé faire le début de l’étape pour contrôler la course ou apporter les bidons peut prendre le risque de perdre deux minutes sur un changement de roue... Ce sont souvent les équipiers qui testent les nouveautés en course avant que les leaders les utilisent sur les courses majeures.
teamdindon a écrit:david38 a écrit:Tu crois vraiment qu' ils se posent ce genre de question? Je pense que les leaders prennent le minimum de risques par rapport au dépannage alors que l’équipier modèle qui est sensé faire le début de l’étape pour contrôler la course ou apporter les bidons peut prendre le risque de perdre deux minutes sur un changement de roue... Ce sont souvent les équipiers qui testent les nouveautés en course avant que les leaders les utilisent sur les courses majeures.
Pour ce qui est du dépannage, je trouve ça justement assez casse-gueule de mixer les 2 systèmes au sein d'une même équipe.
albator83 a écrit:(...)
La Gabba c'est bien pour les averses, mais pas pour prendre la pluie non-stop pendant 200 bornes (à moins qu'il fasse 10°C, ce qui n'était pas vraiment le cas dans la première partie de cette Primavera).
(...)
LewOlive a écrit:Là, pour le coup, faire 300km sous la pluie avec un Kway, c'est peut être un début d'explication à son attentisme sur MSR,
Kipukipet a écrit:LewOlive a écrit:Là, pour le coup, faire 300km sous la pluie avec un Kway, c'est peut être un début d'explication à son attentisme sur MSR,
Faut arrêté de délirer sur la portée de l'impact du matos sur les performances des pros. Il y en a une, mais pas à ce point.
Sagan est moins en forme que l'année dernière, il suffit de comparer ses classements sur son début de saison. Le Kway a peut être joué mais sur des pouillèmes insignifiants.
LewOlive a écrit:
L'impact aéro est énorme lorsqu'on décide de porter un kway plutôt qu'une Gabba. Visuellement on voit le Kway de Sagan flotter comme pas possible à l'approche de la Cipressa. Je sais que le gain est de minimum 10W entre une Gabba et un Kway qui flotte, dans un peloton au train à 40kmh. C'est juste une dépense énergétique inutile quand on sait que le vainqueur de MSR est celui à qui il reste 1 cartouche après 290km.
Le textile est généralement le 1er gain que les cyclistes voulant rouler à 40kmh peuvent espérer, très loin devant le poids du vélo ou même l'aérodynamisme du vélo.
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