JulienCampa a écrit:On voit que t'as jamais travaillé dans l'industrie et que tu passes ta vie dans ton labo.
PhanuHell a écrit:Mon passage préféré :
"As we all know, the world of road cyclists is rife with arm chair racers and engineers who feel emboldened to opine on topics of which they have no real experience. On any given group ride you can hear riders with no race experience second-guessing the performance of everyone from pro peloton pack fodder to Tour de France champions. Part of the appeal of the sport really."
Ainsi adoubé par RoadBikeAction, j'y vais donc de mes deux centimes :
- Les bordures en pierre dans les descentes de col ont le plus souvent la fonction de canaliser l'eau vers un écoulement. Ces écoulement sont parfois eux même entourés de pierre/béton, pour former une sorte d'entonnoir. Ce sont plus des nids de T-Rex que des nids de poule
- Ces bordures sont fait d'alignement de pierres ou blocs de béton, qui avec le temps se désalignent (ou parfois juste en fonction de la bonne volonté du personnel à l’œuvre).
- le nids de T-Rex ou le bloc de béton désaligné est masqué par la bordure dans la vidéo puisque à l'intérieur du virage, on ne sait donc pas ce qu'il tape, mais il le dit et on le voit : ça tape violemment.
- Selon la force du choc (ou de la contrainte, soit dit en passant), le composite à fibre de carbone ne casse pas net : ça fissure, ça se déchire, puis ça se décroche.
- Mohoric explique bien ce qui lui est arrivé, je ne vois pas où est l’ambiguïté en comparant avec la vidéo.
=> Mohoric se pine dans sa gestion du virage et vient taper soit une évacuation, soit un bloc de bordure qui dépasse des autres (pas besoin de rentrer perpendiculairement à la bordure donc, une tangence parfaite suffit si un bloc dépasse de 28c )
=> vu la vitesse et l'impact, la fourche mange sévère et a probablement déjà commencé à se rompre, sans toutefois se désolidariser
=> dans le même temps, le point d'impact se situant sous le centre de gravité du mobile observé, tout l'équipage valdingue autour d'un centre instantané de rotation non défini
=> le pilote et la machine se désolidarisent en volant, mais atterrissent tous deux violemment tête la première, ce qui provoque commotion chez l'un, et rupture finale de la fourche chez l'autre (je vous laisse deviner qui est qui).
=> les freins, qui a parlé de freins ?
JulienCampa a écrit:rickyfirst a écrit:JulienCampa a écrit:oui j'ai vu la vidéo... j'ai vraiment douté qu'il se prenne la bordure vu l'angle avec laquelle il se la prend...
Cela dit, les Merida sont pas costaud comme vélo... pour que la fourche se casse net comme ça...
Autre chose : Nibali, que ce soit avec des patins ou des disques, il descend comme une grosse brute et c'est toujours beau à voir.
Tu connais Raoul Bitembois ? Tu as une similitude de raisonnement frappante avec lui.
Et toi Ricky le professeur surdoué, tu veux pas me lâcher la grappe stp ? On voit que t'as jamais travaillé dans l'industrie et que tu passes ta vie dans ton labo.
SI une fourche casse en se prenant une bordure, j'imagine même pas dans un nid de poule ou sur route cabossée à 70 km/h ... perso, j'en aurais cassé des tonnes de fourches avec le nombre de fois que je me suis pris des nid de poules à grande vitesse.
Mais ce qui est étonnant, c'est que la roue est intacte et surtout, le pneu...
JulienCampa a écrit:Ricky est chercheur sur le feu dans un labo d'une université en belgique....
Franchement, je mets en doute ses capacité à juger une casse mécanique ou même les méthodes de fabrications industrielles et toute la mafia qui règne dans ses grands groupes.
JulienCampa a écrit:Moi aussi ça m'étonne que la fourche casse APRES le choc et pas SUR le choc.
rickyfirst a écrit:Mais non hein, il a reçu sa convocation pour se faire vacciner et il a lu que c'était du Astra Zeneca (pas bien de lire en pleine descente de col )
“Nous sommes entrés dans le virage à grande vitesse. Ma ligne n’était pas parfaite car je n’ai pas emprunté toute la route. J’avais prévu de dépasser Gino (Mader) à la sortie de ce virage puis de passer devant. Le virage m’a surpris, et il était plus serré que prévu. J’ai perdu de l’adhérence. sur ma roue arrière en raison de la vitesse élevée, j’ai pu attraper le vélo, mais ce faisant, j’étais plus proche du virage sur ma gauche.
Habituellement, je ne chute pas, mais j’ai touché e bas côté avec ma pédale gauche. À cause de cela, mon vélo est allé complètement sur le côté et j’ai heurté le trottoir avec ma roue avant. Heureusement, le vélo a absorbé toute l’énergie lorsque la fourche s’est fendue, c’est pourquoi je suis sorti de cet accident avec seulement des bleus mineurs et une légère commotion cérébrale."
JulienCampa a écrit:Les disques, j'ai essayé ..... après 2 freinages, j'ai lâché l'affaire : soit j'étais trop court, soit trop long.
imsaho_ a écrit:C'est surtout un communiqué publicitaire.
Le coup de la pédale gauche (qui est en position haute) qui touche le bas côté il fallait l'inventer
Vous êtes des flèches les gars.
PhanuHell a écrit:PhanuHell a écrit:C'est moi où l'article ne répond pas à la question de pourquoi il lui faut absolument un 27dts ? Je veux dire, à quel moment, dans quelles circonstances ? Pour rester au chaud dans le paquet toute la journée (ça paraît très court comme développement) ? Pour survivre en bosse ? Pour lancer son sprint en faux plat montant ?
Ça paraît peut-être évident pour certain, mais pour moi, vu que c'est quand même un gros pignon pour un sprinter, ça ne me saute pas aux yeux. J'aurais mieux compris s'ils parlaient d'un 10 ou d'un 18 dents...
Pas de nouvelles à propos de pourquoi Caleb Ewan a absolument besoin d'un 27dt ?
JulienCampa a écrit:Franchement, vous croyez vraiment que les coureurs vont dire la vérité quand ils chutent gravement à cause de leur matos ?
Jguy a écrit:
Il n'y a peut-être pas d'explication rationnelle. Juste que le coureur se sent bien avec un pignon de 27 pour grimper dans le grupetto, que le 25 c'est trop gros et que le 28 c'est trop petit. C'est du même niveau que les coureurs qui préfèrent un 42 plutôt qu'un 39, quitte à mettre plus grand derrière, pour une question de sensations.
Caleb Ewan est un coureur important, il peut donc se permettre certaines exigences sans qu'il soit nécessaire d'y accorder plus d'importance que ça.
JulienCampa a écrit:Franchement, vous croyez vraiment que les coureurs vont dire la vérité quand ils chutent gravement à cause de leur matos ?
JulienCampa a écrit:MOUAIS ...... je pense plutôt qu'il a bien bloquer l'avant car pour faire un soleil comme il a fait, il aurait dû taper la bordure à la perpendiculaire... ce qui n'est pas le cas.
JulienCampa a écrit:Le gars bloque la roue arrière puis l'avant car il est en mode panique et que c'est le reflexe de survie : RALENTIR CAR JE VAIS TROP VITE.
Manque de pot : il sens pas la force du freinage et boom.
Point barre. Fin de l'histoire.
PhanuHell a écrit: C'est quelle force paranormale dans le frein à disque qui permet à la roue de reculer sur un freinage ?
PhanuHell a écrit:C'est quelle force paranormale dans le frein à disque qui permet à la roue de reculer sur un freinage ?
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