Après on s'étonne que je me trouve incompris
rickyfirst a écrit:Pourquoi reviens tu encore avec le débat pour ou contre le frein à disque ?
Le débat avait pris de la hauteur en arrivant enfin à discuter sereinement de l'usage du disque.
Je ne débat pas du tout du pour et du contre, jamais. Depuis le début, je dis seulement que ça va se généraliser de façon inéluctable. C'est tout. Après il y a ceux qui s'en réjouissent, ceux qui rament à l'envers, ceux qui attendent etc. Peu importe que je sois pour ou contre, ce n'est pas moi qui décide, ni personne ici je pense. Donc après, le débat serein dont tu parles et que j'approuve, c'est pourquoi, comment, et éventuellement pour qui ?
Kipukipet a écrit:PhanuHell a écrit: Et peut-être que les vélos seront encore plus différenciés entre les pros (micro-niche) et les consommateurs, comme partout ailleurs.
Sauf que le cyclisme est dans une logique inverse à la quelle tu penses (F1 par ex). Le but pour des instances (l'UCI en gros) est que le quidam moyen puisse rouler sur le même vélo (ou pas loin) que le vainqueur du tour), donc on limite l’innovation. C'est pourquoi on voit fleurir les réglementation afin que les vélo des pros restent proche des vélo de "tous les jours".
C'est dans cette logique que l'UCI a interdit les vélos bizarres qui ont commencé à fleurir dans les années 80/90 (cadre poutre, roue différencié etc...). Idem sur l'obligation de commercialiser les cadres validés par l'UCI.
Le cyclisme professionnel ne sera donc jamais l'équivalent de la F1 pour la voiture.
Ne me fais pas dire ce que je n'ai pas dit. Je ne pense pas F1, je pense plutôt rallye (par exemple), où l'on pose une coque en plastique de Pigeot 7002 sur un châssis proto, pour faire comme si, mais personne n'est dupe. Ça n'empêche pas les réglementations à tire larigot. C'est une identification un peu moins absurde et plus adaptée au business (ou orienté consommateur) que les absurdités qu'on voit dans le cyclisme...